mercredi 27 juin 2007
mardi 26 juin 2007
lundi 25 juin 2007
dimanche 24 juin 2007
samedi 23 juin 2007
Julie
Connaissez vous M.Patate?
Voici Julie qui ce prend pour Mme Patate...
(cette image n'est pas truquer)
Nouvel an
Grisou et sont frère Damien...
Grisou et moi...
Bruno...
et moi...
Le grand passage entre 2006 et 2007 .
"Terrible"
vendredi 22 juin 2007
Julie
Petit montage réaliser par tonton bruno merci...
Venez visiter sont site ça vos le coup d'oeil
www.awakestudio.com
Simon
Petit montage fait par tonton alain merci...
Venez visité sont fotolog qui est super chouette.
www.fotolog.com/lino68/
Homicide 31
Résumé:
Le 5 septembre 1997, Patrice Alègre est arrêté en banlieue parisienne.
Le soir même, Michel Roussel, enquêteur à la section de recherche de la gendarmerie de Haute-Garonne, le rencontre pour la première fois.
Premier face-à-face d'une longue série.
En février 2002, Patrice Alègre est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour six viols suivis, pour cinq d'entre eux, de meurtre.
Passage du livre:
Il ne faut pas croire que ces meurtriers en série soient des gens ultra-intelligents qui défient la police.
Un tueur en série, c'est juste un criminel qui ne s'est pas fait prendre avant, qui est passé à travers.
La vérité existe, on n'invente que le mensonge.
L'enfant frigo
Résumé:Être traîné au tribunal par sa mère est une épreuve. Mais quand cette mère n'a pas été à la hauteur, la douleur se fait vive. Patrick Dugois, aujourd'hui homme politique reconnu, a vécu dans la plus grande misère affective et sociale. Son père se suicidait souvent, se ratait toujours, travaillait rarement. Sa mère élevait sans amour ses onze enfants de cinq pères différents. Lui, l'(enfant frigo), blanc, froid, vide, a mis toute son énergie pour s'en sortir. La culture, l'engagement et l'amour lui ont permis de réussir et de nous livrer ce récit poignant et dérangeant.
Une histoire tirer de fait réelle a vous faire froid dans le dos...
Voici quelques passages du livre:
Je t'écris cela en pleurant,
la main sur le ventre
la main sur la tête,
le coeur à l'envers,
les yeux sans lumières,
dans l'enfer froid du dedans.
Je t'écris cela
d'où ne remonte pas.Pas de remonte-pentes,
pas de forfaits, sauf hospitalier.
Mais tu sais, maman, je suis mort là-bas,
dans le frigo médical, dans le vide absolu,
sans temps, sans tendresse, sans chaleur,
oh, tu n'as pas su,
trop de nombreux sur les bras, trop de linge à frotter,
pas le temps de se retourner.
Et puis je suis revenu
dans la chambre froide, blanche, humide,
de la maison aux courants d'air,
dans mon frigidaire intérieur
et je manquais de tout,
et je manquais d'air
tout blanc, tout humide,
je manquais d'air
et il avait des noeuds dans ma poitrine.
Tu sais, je voulais te dire ma souffrance,
de t'aimer, de te haïr,
te dire la souffrance de l'abandon qui est toujours là.
jeudi 21 juin 2007
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